Je suis fatiguée …
Fatiguée …
Fatiguée de tenir la charge mentale de la famille seule …
Fatiguée des angoisses liées à la gestion financière …
Fatiguée de faire semblant et d’entrer dans un moule de modèle familial …
Fatiguée de me sur-adapter en permanence …
Fatiguée de mon perfectionnisme maladif …
Fatiguée d’être en bagarre constante avec moi-même …
Fatiguée de toutes mes croyances bien ancrées qui me coupent les ailes.
Alors ma petite voix intérieure qui murmurait s’est mise à hurler…
Une entrée fracassante !
Le burn-out a fait son entrée en scène ! La rupture ! La cassure ! La blessure …
et puis finalement le plus beau cadeau que la vie aurait pu me faire.
Le burn-out, c’est ce moment où tu ouvres les yeux un matin et que tu ne peux juste plus.
Tu ne peux plus te lever.
Tu ne peux plus marcher.
Tu ne peux plus sourire.
Tu ne peux plus travailler.
Tu ne peux plus vivre comme hier.
Tu ne peux plus porter ta fatigue.
Tu ne peux plus … juste plus.
Le burn-out est une vraie maladie (mal-à-dit), qui nécessite une vraie prise en charge médicale, paramédicale ou psychologique.
Ce n’est pas juste l’état dépressif de quelqu’un qui s’écoute un peu trop.
Il prend ses racines en profondeur. Dans le terreau de ce qui donne un sens à la vie.
Là où tout prend vie.
Le burn-out passe … et la lumière trépasse
Comme un bon gros coup de Round Up dans votre jardin intérieur. Rien ne survit.
Aucune graine, pas l’once d’une fleur … aucun buisson, même les arbres sont affaiblis, jusqu’aux plus robustes … sans oublier les mauvaises herbes !
Toutes vos fondations s’effondrent, toutes vos certitudes s’effritent.
Un matin, comme ça. Un matin pas fait comme un autre… Le corps dit STOP.
Tout dit STOP.
Le plus vicieux dans ce nettoyage radical, c’est qu’une terre empoisonnée, peut le rester encore pendant plusieurs semaines, pendant des mois … voire des années, si personne ne s’en occupe.
Rien ne repousse. Plus aride et plus sec qu’un désert. Terre hostile. Un incendie à côté … les doigts dans le nez !
Mais nous n’avons pas encore conscience que …
C’est exactement au milieu de la nuit que l’on voit le mieux nos petites lucioles intérieures!
Gaëlle Pro
Tu l’entends la petite voix ?
En réalité, on réalise après coup, que ce matin-là n’arrive pas vraiment par hasard.
On réalise que ce matin-là n’arrive pas vraiment sans prévenir.
Cela faisait longtemps que la petite voix intérieure murmurait …
« tu ne voudrais pas ralentir un peu ? »
« Oh tu as vu le bel oiseau bleu ? »
« haaan ! attends, cours pas … écoute ! Tu entends cette musique ? J’adoooore cette musique !!
Je voudrais danser !! non ? … ah d’accord ☹ »
« humm ça sent bon … c’est quoi cette odeur ? T’as pas senti ?
Tu ne veux pas aller voir ? non ? … bon d’accord … »
Et puis frustrée la petite voix intérieure va devenir de plus en plus forte … elle va piquer un peu pour faire réagir !
Et c’est comme ça qu’un matin tu te lèves avec une migraine affreuse …
la petite voix est en colère, elle fait sonner une alarme incendie dans ta tête !
Mais tu n’entends pas sa colère, et puisque le monde chimique est bien fait, tu prends un cachet magique pour contrer cette pernicieuse attaque !
Antalgique 1 – 0 Petite voix intérieure
Mais elle n’est pas décidée à baisser les bras !
Alors chaque jour pendant une semaine elle recommencera et chaque jour pendant une semaine tu prendras ton petit cachet magique … et tu augmenteras les doses…
une à une.
Elle est plus forte que toi !
Alors, au bout d’une semaine la petite voix te déconcentrera pendant que tu marches en direction de la gare en plein hiver et tu ne verras pas la magnifique et brillante plaque de verglas, droit devant toi.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire … tu glisses, tu voles et pif, paf, pouf … tu t’écrases par terre … à plat dos ! (comme une grosse m…. ! Oops!)
Mais tu n’es toujours pas décidée à entendre (plus têtue, tu meurs!) alors tu te relèves, et tu continues ton chemin.
Jusqu’au train.
Jusqu’au travail.
Et tu le feras, encore, chaque jour, pendant 15 jours …
Pendant 15 jours tu lutteras contre toutes les douleurs consécutives à la chute … fausse couche de ta grossesse qui commençait tout juste, douleurs dorsales, torticolis, épaule droite, sinusites, rage de dents … sciatique.
Tu sers les dents. C’est rien. Rien qu’une mauvaise chute.
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
La Bible
Alors, un midi, à table avec des collègues, il faudra que tu ne puisses plus de te lever de ta chaise – clouée par une double sciatique – pour que tu acceptes de te contraindre… et de t’arrêter.
Mais accepter de s’arrêter … c’est accepter d’entendre la petite voix.
C’est se confronter à ce qu’on cache sous le tapis depuis des mois et accepter de voir …
C’est dissiper les effets de l’anesthésie générale que l’on s’est auto-administrée.
Et c’est prendre un tsunami émotionnel dans la tronche ! (Bim Bam Boum)
Triple combo – Ko – Game Over !
Et c’est là, en général, que l’on fait le bilan des dégâts … que l’on compte les points !
Coup du lapin, inversion de la courbure cervicale, côtes déplacées, bassin déplacé, inflammation des méninges (à l’origine des sinusites et des rages de dent – une réponse physiologique purement réactive.)
Ce n’est pas joli, joli.
Et tu apprends donc, que la petite voix (#connasse), si tu ne l’écoute pas, elle trouvera tous les moyens pour se faire entendre.
Tous les chemins.
Même si ça doit faire mal.
C’est l’heure du grand ménage !
Maintenant, bien couchée sur ton lit, en convalescence pour 6 mois … tu fais moins ta cocotte hein !
Elle aura tout le loisir de te parler, mais surtout… de te forcer à l’écouter !
Et la première chose qu’elle te dira c’est que… c’est Ok !
Tu es fatiguée.
Tu es épuisée.
Tu es vidée.
Puis, tu as mal.
Alors pleure, pleure le plus que tu peux.
Pleure et dors.
Je suis là.
Tout va bien, maintenant.
La petite voix te dit que le printemps reviendra, et que pour que la terre de ton jardin se régénère il faudra que tu jardines un peu.
Que tu draines et assainisses ton terrain, pleure pour l’arroser.
Et aussi que tu ratisses et retournes la terre.
Et puis mets les mains dans la boue un peu !
Vas-y franchement ! A pleines mains !
Touche la terre, malaxe-la, renifle la … ressens-la.
Rappelle-toi, enfant, combien tu aimais ça !
Que te dit-elle cette terre ? Que ressens-tu ? Que vois-tu ?
Rencontre avec tes trésors oubliés
En t’arrêtant et en regardant ton jardin, ta terre intérieure, tu y trouveras tes trésors !
Les tiens.
Uniques.
Peut être découvriras-tu qu’à la place d’une terre argileuse, tu as une terre rocailleuse !
Pleine de nuances et de reliefs, avec des recoins cachés, des grottes et des points culminants … que rien n’y est droit et linéaire … mais que c’est beau quand même !
Vous croiserez peut-être quelques-une de vos lucioles en chemin,
Peut être même plus encore …
Et ça ne veut pas dire que rien n’y poussera … ça veut peut-être juste dire que ce que tu y avais planté ne pouvait pas y pousser… ou pas comme ça !
Tu as déjà essayé de planter un magnifique Aloès dans une terre argileuse ? (Bah bon courage!)
La nature offre parmi ses plus beaux panoramas … extraordinaires … sur des terres rocailleuses !
Relâche-toi. Dors. Pleure. Observe. Dors encore. Pleure encore. Observe.
Laisse aller
Tout va bien
Tout est exactement à sa juste place
Et seulement après avoir traversé ton hiver, jusqu’au bout, tu pourras commencer à te demander … Que vas-tu y planter pour le printemps ? Comment ? et surtout … pourquoi ?
21 Commentaires
Le plus dur est d’accepter de se reposer, de pleurer, ralentir son rythme de vie. J’en ai assez de cette croyance du toujours plus vite, toujours plus de choses à faire ! Merci pour cet article et ces précieux conseils !
Avec plaisir 🙂 merci pour ton témoignage !
Cet article est sur moi. Merci bien pour m’ avoir convaincu qu’ être différente ce n’est pas un défaut. Je suis sûre que le jardin de mon âme fleurira un jour!
Oh Valentina, merci à toi <3
Merci d'avoir accepté de voir ta différence comme un atout 😉 elle est précieuse !
Quand nous sommes comme tout le monde ... nous sommes personne.
Je t'envoie une cargaison de soleil pour t'aider à faire fleurir ton jardin !
A très bientôt,
Gaëlle
Merci Gaëlle pour vos mots sur des maux qui sont les miens aujourd’hui. Malgré un printemps qui tarde à venir je sais en vous lisant vous et d’autres sur le sujet, qu’il viendra après l’hiver. Pour le moment, je suis au milieu du guet mais je ne désespère pas de sauter le plongeoir pour me rendre compte que je sais parfaitement nager. Ma petite voix maléfique se transforme peu à peu en petite voix du courage. Je dis quand on me demande si ça va “un jour à la fois” et c’est vraiment le cas. C’est long, c’est solitaire, ce sont les montagnes russes mais chaque pas sur le chemin de la guérison est une victoire. Personnellement, je remets les mains dans le faire pour éviter de trop penser. La découverte de votre blog par exemple est une dose de sérénité qui m’accompagne. Continuez !
Merci Marieka pour votre témoignage. Je ressens beaucoup de douceur et de sagesse en vous lisant …
Vous avez raison, cet hiver est solitaire, mais c’est important qu’il le soit malgré la difficulté, parce que justement c’est à nous de sortir nos vrais besoins et nos vrais rêves du plus profond de nous-même ! Toutes les stratégies sont bonnes, le tout étant de garder la foi que c’est un passage difficile mais temporaire et que le printemps s’en vient !
Merci pour vos encouragements, je suis ravie de pouvoir vous apporter un brin de sérénité ! C’est toute ma raison de me lever le matin <3
Je vous envoie toutes mes pensées,
Au plaisir de vous lire,
Gaëlle
Quel beau texte, j en ai les larmes aux yeux. Je suis dedans, totalement dedans…en arrêt forcé depuis 1 semaine, voilà 7 ans que je tire sur la corde… Je n’ ai pas su ecouter ma voix qui pourtant m alertée. Mais têtue et élevée dans “les arrêts maladie c est pour les fainéants…”. J ai poussé le bouchon jusqu’au bout. 39 ans, je suis au bout. Je me sens tellement vide, je n’ai plus d énergie. Mais ton texte me redonne espoir…. Le printemps reviendra, il faut juste que j accepte de passer l hiver, de me reposer ( je ne sais pas faire !!!). En tous cas, continuez, c est une belle initiative et je suis en totale cohérence avec vous sur les divers sujets. Je suis en pleine campagne où penser ainsi relève de la folie, manque d ouverture, ce qui ne m’a pas aidé à aller bien car défendre les petites graines dans un monde de plastique et de roundup m a littéralement épuisé….mais je ne veux pas et ne peux pas me résigner. Je reprends espoir même si je sais que la pause est maintenant incontournable pour bien redémarrer. Belle vie à vous les filles…
Merci Frédérique pour votre témoignage !
Je vous envoie une cargaison de courage et de force pour vous aider à traverser votre hiver ! Mais vous avez raison de garder la foi !
Le printemps n’est pas loin… Il vous attend et se prépare doucement.
Prenez le temps de la pause, vraiment. Ne reprenez que lorsque vous vous sentirez de nouveau pleine de vie et pleine de sens <3
Prenez bien soin de vous, vous le méritez !
Amicalement,
Gaëlle
C’est magnifique ce texte et c’est tellement ça… J’en ai encore la chair de poule!
J’ai vécu ça l’année dernière et ça a été dur, très dur, mais maintenant que l’hiver est passé je respire et je réalise que je n’avais jamais respiré comme ça! Ca fait un bien fou!
Ma petite voix, je l’appelais “ma petite tristesse”… C’était moi en fait et je m’y suis reconnectée! Il a fallu du temps, des séances de psy, des larmes, des doutes, un projet de reconversion, encore du temps, beaucoup de temps, des moments seule, beaucoup…
Je suis contente d’avoir vécu ça maintenant à 35 ans plutôt que de subir ma vie encore longtemps.
Merci pour ce beau texte
Merci Valentine pour votre témoignage…
C’est un cap très difficile à passer mais vivre ça à 35 ans est un cadeau : cela permet justement de vivre une nouvelle vie plus alignée plus tôt.
Il n’est jamais trop tard pour autant pour une renaissance !
Nous sommes touchées que vous vous retrouviez dans nos écrits <3.
A très bientôt,
Morgane
Merci Valentine pour votre témoignage !
Je suis très touchée par vos mots… et émue que les miens vous aient touchée autant !
Je suis d’accord avec vous, du temps il en faut, beaucoup ! Savourez-le, vous avez en effet le meilleur devant vous…
Je n’ai pas donné de nom à ma petite voix, mais je parle souvent de ma jumelle maléfique 😉 et, elle, par contre, elle a un prénom! LOL
Un jour j’en parlerai sûrement, j’attends juste que les mots se posent dessus!
Au plaisir de vous relire bientôt,
Je vous souhaite le meilleur
Gaëlle
bonjour Gaëlle
merci pour ton article. je ne suis pas personnellement (facon de parler) mais mon fils lui oui. il a 19 ans et en apprentissage. il y a eu un changement de chef d atelier il y a quelques mois. et depuis son travail qui lui plaisait tant et devenu un véritable enfer au quotidien. Harcelé, humilié ,insulté et non formé. nous avons eu des échange avec sa responsable qui a essayé de faire son maximum envers la hiérarchie mais rien y a fait. voilà pour vous dresser un peu ce sombre tableau.
hier mon grand à fait un malaise au travail. Son corps et son esprit ont craqué. il minimisant les choses ses dernières semaines je pense parce que je suis enceinte de 7 mois.
lorsque le garage m’a téléphoné j’ai sauté dans mes baskets avec la ferme intention de pardon du terme péter la gueule de cette enfoiré et lui faire autant de mal qu’il venait se faire à mon fils. je me suis ravisé en route en me disant que ça ne lui rendrait pas service et que ce n’était pas la meilleure réponse à apporter à cet individu.
Ce matin rendez vous au médecin. c’est bien un burn out un épuisement professionnel. j’ai également contacter la maison mère qui m’a dit qu’elle ne laisserai pas passer ça. j’attend qu’elle me rappelle.
mais comment aider mon fils c’est une boule de nerf toute sa colère remonte. un lion en cage qui tourne en rond. une cocotte minute qui ne demande qu’à exploser.
que puis je faire pour lui. je ne sais pas quelle activité lui proposer ni quoi faire. je suis démunie.
et comme un signe ce matin je vois votre blog sur les licorne je m’y inscrit et tombé sur votre article.
peut être avez vous des pistes à me proposer car en plus il A des heures de sorties.
pardon pour le pavée.
merci à vous
Bonjour Mélanie,
Je suis très touchée par votre témoignage … merci de nous avoir fait suffisamment confiance pour nous le confier !
Chaque cas de burn-out est différent et il est délicat de vous conseiller sans le connaitre parce que je pourrais malgré moi mettre votre fils en danger avec un “faux bon conseil”.
Toutefois, il y a tout de même 2 ou 3 choses que je peux vous dire et qui pourraient vous aider, même un peu.
La toute première, c’est que vous avez vraiment bien fait de le faire suivre par un médecin. Ne relâchez pas !
C’est important d’être bien suivi. Ecouté et entendu.
Mais le burn-out n’est pas une fatalité. Il se soigne et ouvre souvent des perspectives que l’on imaginait pas avant.
La seconde chose, c’est de lui répéter chaque jour qu’il n ‘est pas seul, d’être là mais de lui laisser l’espace pour s’effondrer.
Il a le droit de s’effondrer !
Lui à l’intérieur il se sent seul, même en votre présence. Il navigue entre un sentiment de colère et d’injustice profond et un vide pesant.
C’est normal.
Il a vécu l’humiliation … on n’en sort pas indemne. Mais on en guérit.
Vous pouvez lui répéter régulièrement, que sa personnalité, sa vie et ses capacités, ne se résument pas à ce que cet odieux personnage lui a fait.
Que ça ne le définit pas… et qu’aujourd’hui il arrive au moment où il peut dire qui il est. Ce qu’il accepte et ce qu’il refuse.
Il va avoir besoin de temps, de calme, de repos … et de faire des choses qui lui font du bien !
Et enfin, si ce n’est pas déjà fait, peut-être vous renseigner pour faire un signalement à la médecine du travail.
Peut-être déposer un dossier aux prud’hommes pour harcèlement et faire reconnaître son statut de victime.
Mais gardez toujours à l’esprit, que chaque décision doit venir de lui.
L’important aujourd’hui c’est qu’il reconnecte avec son/ses besoin(s) à lui.
Je vous souhaite à vous et à lui le meilleur, de sortir de cette spirale et d’y trouver la lumière pour demain !
Avec toute mon affection
Gaëlle
merci les filles et heureuse d’avoir découvert votre blog que je vais suivre avec plaisir 😉
Bonjour Valentine,
Heureuses de vous avoir parmi nous 🙂
Merci pour votre soutien,
A très bientôt,
Gaëlle
Merci vraiment beaucoup pour ton article….
Me concernant, le corps a craqué… enfin… il y a 1 mois aujourd’hui….! Des mois, des années que dis-je, que je “survis…. Et puis, fin mars, des douleurs qui, cette fois, deviennent ingérables. Un burn-out ? Je ne sais pas vraiment. Mon médecin ne prononce pas ce mot. Je sais simplement que mon” véhicule-corps” est en panne. Je n’ai plus de force. Ce burn-out, dans un milieu professionnel masculin, très machiste est un véritable tabou. Moi qui suit censée “sauver” des vies, n’arrive même plus à gérer la mienne. Quelle idiotie.
Il paraît que le temps va faire son œuvre et que cela passera.
Je te remercie de tout cœur d’avoir décrit si joliment tes maux, qui sont miens aussi.
Avec plaisir Elvina <3 Merci beaucoup pour ton témoignage! J'espère que mes mots pourront suffisamment résonner en toi pour te donner l'espoir d'un demain meilleur !
La priorité aujourd'hui c'est TOI, et uniquement TOI.
Je te souhaite de trouver TA porte de sortie et de retrouver ta joie de vivre, la paix et la sérénité. La vie est parfois brutale mais ce n'est que pour nous remettre sur notre chemin. J'en suis convaincue !
Je t'envoie une cargaison de lumière <3
Au plaisir de te lire,
Prends bien soin de toi,
Gaëlle
C’est dur à lire, mais quelle force d’esprit pour se sortir de cet hiver rigoureux ! Et belle pirouette également, joli pied de nez et belle renaissance !
Je te souhaite beaucoup de bonheur et d’accomplissement dans ton projet, et de belles fleurs plantées qui embaumeront ton univers.
Bisous ma bichette
Coucou miss, merci pour tes encouragements ! Qu’est ce qui a été dur à lire pour toi ?
Le printemps a pointé le bout de son nez 😉 ça fait du bien !
Plein de bisous à vous 5
Gaëlle
merci Gaëlle pour votre bienveillance.
Avec plaisir Mélanie <3